dimanche, mai 18, 2008

Quelques défaillances de l’existence humaine




Le shit c’est l’alcool du pauvre, la coke c’est l’alcool du riche, en somme, tout n’est qu’alcool.

Le problème avec le mariage, c’est qu’il fait passer l’objet de désir le plus convoité, le plus inaccessible au statut de banalité quotidienne. Vous pouvez changer votre décoration, tout le mobilier, même de logis, mais jamais votre femme sans quoi elle ne le serait plus. Voilà pourquoi prendre une maîtresse peut sauver votre mariage.

L’homme est devenu intelligent, mais ne sait pas quoi faire de son intelligence. La femme est restée bête et fait des bêtises sa spécialité. Résultat : le taux de divorce monte en flèche et la levrette figure au premier rang des positions les plus usitées.

Pourquoi je te hais.

Ceux qui disent « en tout bien tout honneur », ceux qui ne pensent qu’il faut insérer « politiquement correct » coûte que vaille, ceux qui se prennent pour les plus intelligents putains qu’ils sont nombreux ces connards. Ceux qui ne peuvent se débarrasser des idiotismes et des expressions consacrées par une merde de mode, ceux qui tissent leurs raisonnements comme une toile de préjugés et d’aprioris, ceux dont leur mère domine encore la pensée. Ceux qui ne savent pas encore que les gens disent 1/3 de conneries et 1/3 de mensonges. Ceux qui sont convaincus. À tous les puristes du monde, à tous leur confrères et consœurs de la race des imbéciles. Ceux qui ne sont jamais sortis de l’axe colonial, et qui voient la France comme une divinité nouvelle. Ceux qui croient en « le style ». Ceux qui pensent qu’écrire est un preuve d’intelligence. Ceux qui n’ont aucune forme d’autocritique. Ceux qui jugent et se croient de droit de le faire. Ceux qui ne jouissent qu’au regard du mal qu’ils font, ceux qui n’existent qu’en se comparant aux autres. Ceux qui n’ont rien compris à la vie. Ceux qui passent leur temps. Ceux qui ne parlent que des autres, ceux qui ne débloquent jamais. Ceux qui s’imaginent qu’en ce moment-même je ne parle pas principalement de moi. Désolé mais t’es un âne!

mardi, février 26, 2008

Extraits...


Il y a toujours des raison au meurtre d'un homme. Il est, au contraire, impossible de justifier qu'il vive. C'est pourquoi le crime trouve toujours des avocats et l'innocence, parfois seulement.

The Fall, A. Camus.

Prologue
À force de vouloir trop citationner, on finit par stationner, ou prologuer comme un con.

Brain Male function
Tout le monde ah sa façon de draguer. Ya ceux qui mentent, ya ceux qui payent, ya ceux qui tchatchent, ya ceux qui niquent, et bien sûr, ya ceux qui « bloguent ». Alors, et j’ai pas honte de le dire, je blogue pour draguer depuis près de deux ans et enfin, j’ai rencontré l’âme sœur. La femme de mes nuits, celle qui n’a jamais de règles, et qui va chercher l’ale au frigo, qui aime le Barca, et qui croit aussi sincèrement qu’elle le peut que, non ce n’est pas qu’une simple raison qu’on a de se donner de vivre… disons qu’elle ne rechigne devant rien, elle est pour ainsi le dire, la femme parfaite : virtuelle, souple, économique, et surtout légère, et bien sûr… parfaitement imberbe en dessous de la taille… et surtout, à l’évidence, parfaitement réglée.
Enfin, je me comprends!

Épilogue
Mais! parce qu’il y a toujours un « mais » : Mais qu’elle est bonne!

L’homme qui poussait plus vite que son ombre
Avec ses petits airs napoléoniens,
il ambitionnait l’Afrique, mais la malmenait,
émoussait les femmes, sans jamais les faire venir, jusqu’à lui,
buvait sans relâche et baisait la main sans sourire,
qu’il était donc maladroit, voilà pourquoi
les femmes l’adoraient, mais ne l’aimaient pas.
Bienvenue à Paris mon cher ami!
Bienvenue à Paris mon cher ami!
Bienvenue à Paris mon cher ami!

C’est toi l’homme…
qui poussait plus vite q’son ombre
C’est toi l’homme…
qui poussait plus vite q’son ombre
C’est toi l’homme…
qui poussait plus vite q’son ombre


Intelligence

Ô intelligence, tu n’es que substance molle et non scientifique
Ô intelligence, quand t’aurais-je enfin dans mes draps blancs
Ô intelligence. Quand viendras-tu enfin quitter le Baratin gaulois
Pour venir te les chauffer en Méditerranée, putain?
À la plage, avec ma guitare et moi et tu seras ma muse
C’est tellement chouette de chez chouette que c’en sera méga chouette
Ô… t’es qui toi déjà je commence à être bourré?
Ô ma muse! ‘scuse-moi je suis tellement bourré que je crois que je pourrais pas ce soir
Wow ma muse qu’est-ce que tu me fais-là en dessous des draps? Khh! Putain, ma coquine!
Ouuuuuuuula je crois que tu m’as remis en forme, pour ainsi [le] dire…
Au garde-à-vous!
Morale :
C’est tellement con les « zombs » (prononcer « les hommes » avec un rhube).

Blague con
Je l’ai levé de fois, Wé je l’ai l’vé deux fois, wééé je l’ai vraiment l’vé deux fois... Avec les deux bras!


Digression
L’ultime épreuve pour des haut-parleurs de PC, c’est la Fantaisie en ré mineur de Mozart.

Le putes
Il est un immense fossé entre (…) les putes et les putains. La distance n’est pas un sens donné à tout le monde.

jeudi, janvier 17, 2008

À toi ma Merveille

Dos gardenias para ti
Con ellas quiero decir:
Te quiero, te adoro, mi vida
Ponles toda tu atención
Que seran tu corazón y el mio

Dos gardenias para ti
Que tendrán todo el calor de un beso
De esos besos que te dí
Y que jamás te encontrarán
En el calor de otro querer

A tu lado vivirán y se hablarán
Como cuando estás conmigo
Y hasta creerán que se diran:
Te quiero.
Pero si un atardecer
Las gardenias de mi amor se mueren
Es porque han adivinado
Que tu amor me ha traicionado
Porque existe otro querer.


lundi, janvier 14, 2008

Qui aime le jazz aime la vérité.

La virtuosité est un art à part entière. Mais je n’aime pas cet art.

La vente c’est un peu les dessous des affaires… il faut l’éplucher.

Tout s’achète, même les opinions, par respect.